Conte à mes yeux
J’ai longtemps cherché « la bonne case », pour y ranger tout ce que je fais.
Conter.
Enseigner.
Ecrire.
(Mettre en scène, monter des projets pluridisciplinaires, inventer des univers d’apprentissage, jouer avec les fils et les tissus…)
J’ai essayé de rentrer dans les cases administratives à coups de pelle, et le gag a duré quinze ans. (Bonjour, la Maison qui rend fou !)
Un jour d’été, en flottant dans les eaux bretonnes glacées – tu sais que je peux flotter comme un bouchon, sans bouger ? – j’ai décidé qu’il n’y aurait pas de case.
Ma case est une cabane en bois, au milieu de la forêt.
L’été, la lumière s’y engouffre. L’hiver, un feu de cheminée la réchauffe. On peut y écouter des histoires, apprendre, lire, savourer une boisson chaude et rêver.
Dans ma cabane, je peux honorer tous les talents que la vie m’a confiés. Nul besoin d’en enterrer quatre pour n’en garder qu’un.
Je l’ai appelée « Conte à mes yeux »
Ce nom, tu peux le tourner et le retourner comme tu veux, il décrira toujours le projet de cette cabane.
Parce que le conte émerveille autant tes oreilles que tes yeux.
Parce que je raconte à ceux qui comptent.
Et surtout parce que Isaïe 43, 4a.
« Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime ».
La porte est ouverte. Viens. Les talents sont faits pour être partagés.
Les propositions de la cabane
CONTE
FORMATION
ECRITURE
J’ai envie d’habiter dans mon logo.
Il a été imaginé par Lucile Escallier, de Studio Notagraphe. Je suis tombée en amour avec le travail de Lucile en regardant son portfolio, et je me suis régalée tout au long de notre collaboration.
J’ai créé mon site avec la complicité de Stentorio. Il est de ces magiciens du web qui savent exactement quel détail modifier pour finaliser une page en beauté. Il sait écouter, conseiller, et… il va tellement vite que tes yeux ont du mal à suivre. Ils n’ont pas tellement besoin de suivre, ceci dit. Tu peux lui faire confiance les yeux fermés.